Yaoling : des clefs de compréhension pour être plus fluide, plus rapide et plus autonome !

Et si mieux comprendre le chinois passait d’abord par une nouvelle façon de l’aborder ?

La Chine devient une des plus grosses, voir la plus grosse économie mondiale et la maîtrise de la langue et de la culture chinoises devient un gage de confiance et d’intérêt accordé à ses partenaires chinois, permettant ainsi de créer avec eux une relation privilégiée et de sortir du lot sur un marché de plus en plus concurrentiel. Cela donne de la confiance et de la crédibilité auprès de ses interlocuteurs chinois, qui deviennent alors de vrais partenaires privilégiés. Dans mon expérience commerciale auprès d’une clientèle asiatique, j’ai remarqué que les résultats économiques étaient de loin bien différents quand on maîtrise la langue de nos clients asiatiques et quand on connaît leur culture, comparé à des échanges effectués en anglais, et ce même quand on a l’expérience du business. Par ailleurs, l’acquisition d’une connaissance plus approfondie de la culture chinoise m’a fait prendre conscience d’une multitude de pièges sur le plan interculturel qui pourraient faire capoter un long travail acharné orienté vers la création de relations commerciales de qualité. Se former et former ses équipes sur la langue et la culture chinoises améliore naturellement la qualité des relations que l’on entretient avec ses partenaires chinois, tout en permettant de bénéficier de retombées économiques significatives. Pourtant, les entreprises hésitent encore souvent à se former en chinois. Pour ma part, je peux comprendre leur réaction au premier abord, même si ce n’est pas la plus stratégique, ni la plus économique. Quant à leurs concurrents, ces derniers voient d’un bon oeil qu’ils continuent à ne pas voir l’intérêt de ces compétences, car ça leur donne un avantage sur le même marché, me confient certaines entreprises. Comme les entreprises elles-mêmes le disent souvent, elles peuvent faire du business en anglais et c’est vrai.
Et elles peuvent avoir des résultats économiques en anglais ! Par ailleurs, elles peuvent également se demander combien de temps ça va leur demander de rendre leurs équipes opérationnelles en chinois, car ne nous le cachons pas : le chinois ce n’est pas de l’italien ! (Nous sommes d’accord, l’italien présente lui aussi ses propres défis) La barrière ressentie avec la langue est principalement le facteur temps, quand à la partie interculturel c’est l’imprévu. Et c’est ici justement que Yaoling a une carte à jouer pour résoudre ces questions. yao 钥 [鑰] => clef ling 灵 [靈] => agile, rapide, leste

Avec Yaoling, j’apporte des clefs de compréhension qui, sur le plan linguistique, ouvrent des portes vers des champs de connaissances souvent inexploités. Mon objectif, c’est de permettre à mes apprenants de gagner en vitesse d’apprentissage — et donc, tout simplement, d’apprendre plus vite.

Mais au-delà de la langue, il y a la culture. Et là aussi, ces clefs permettent de développer une véritable intelligence interculturelle. Pourquoi c’est important ? Parce que ça vous donne un socle solide pour aborder les grands enjeux des échanges avec des partenaires chinois, et ça vous aide aussi à vous adapter finement à des situations nouvelles ou complexes, avec justesse et subtilité.

La méthode que j’ai développée, elle est rapide et agile, justement parce qu’elle s’appuie sur mon double parcours de pédagogue et d’universitaire. J’y ai mis toute mon expertise, mais aussi toute ma passion. Mon lien avec la Chine est profond, presque organique. C’est un art de vivre pour moi, et je vis au quotidien cette immersion dans les cultures asiatiques.

Ce que je vous propose avec Yaoling, c’est une vraie progression, dès le premier mois, même si vous avez déjà un bon niveau. Et surtout, je vous aide à développer cette intelligence interculturelle essentielle pour créer un lien fort, durable et respectueux avec vos partenaires chinois. Mon but, c’est que vous soyez autonome, aussi bien dans la langue que dans la culture chinoise.